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]]>Le 15 mars dernier, Francis Lafrenière (16-6-2, 9 KO) est monté sur le ring du Casino de Montréal pour défendre son titre NABO face à l’Albertain Albert Onolunose (23-1-1, 7 KO). Le duel a été serré pendant les dix rounds. Finalement, les juges ont accordés la victoire à l’aspirant d’origine nigérienne par une décision majoritaire (97-93, 95-95, 96-94). Depuis, Onolunose est devenu le onzième aspirant à la WBO et Lafrenière a été sorti du même classement.
Évidemment, l’équipe de Rixa Promotions a été bien déçu du résultat et ils se sont mis immédiatement au travail pour organiser Lafrenière-Onolunose 2. Il nous fait plaisir de vous annoncer que les deux boxeurs ont signés le contrat pour s’affronter de nouveau. Ce second chapitre aura lieu à la mi-juin à la Tohu à Montréal.
Avant de parler du deuxième combat, on se doit de faire un retour sur celui du 15 mars. Si vous n’avez pu voir cet affrontement, nous vous recommandons fortement par commencer en regardant le vidéo suivant. Si vous êtes un amateur des combats à courte distance, vous serez pleinement comblé.
Dans les deux premiers rounds, on constate clairement que l’Albertain a commencé en étant beaucoup plus actif. Selon l’analyse de compubox (disponible plus bas), on constate qu’il a lancé 199 coups alors que Lafrenière s’est élancé seulement 87 fois. Bien que la fréquence que les boxeurs ont touchés la cible est semblable (16 VS 21 pour Lafrenière), les juges ont accordés le premier round à Onolunose et deux des trois juges l’ont accordés à Lafrenière.
Le plan de match de Lafrenière n’était pas différent de ses combats précédents. Par contre, Onolunose a un parcours tant amateur que professionnel d’importance, voici justement le portrait que nous avons fait de lui pour le premier duel. De plus, il a pu compter sur un camp d’entraînement d’un mois, ça lui a permis d’avoir une stratégie très bien adapté.
On le constate aisément au début du combat, le boxeur de 37 ans lance son jab et passe à l’attaque régulièrement. Pendant ce temps, Lafrenière tente de s’approcher avec les deux mains bien hautes pour se protéger. Malheureusement pour lui, Onolunose accroche rapidement dès que le protégé des frères Grant s’approche et la perception est à son avantage. Après cinq rounds, les trois cartes des juges (tous 48-47) sont à l’avantage de celui qui va l’emporter.
Dans la seconde partie du combat, incluant le 5e round, Lafrenière accélère le tempo alors que Onolunose ralenti. La moyenne des coups lancés des quatre premiers rounds versus les six derniers le démontre bien (moyenne de 61 coups lancés VS 88 pour Lafrenière et 90 VS 61 pour Onolunose).
L’analyse pour les coups qui ont touchés la cible donne un résultat différent (moyenne de 20 coups atteints VS 34 pour Lafrenière et 15 VS 18 pour Onolunose). La boxe est un sport jugé à travers l’œil humain, on ne peut pas tout baser sur les statistiques. La plus grande activité de Lafrenière lui a bien servi mais pas au point de renverser la tendance.
Soulignons que lors du huitième round, le boxeur de Coteau-du-Lac a enfin utilisé plus fréquemment son jab en le lançant à 21 reprises et c’est le seul round que les trois juges lui ont accordés unanimement. Avant de débuter le dernier round, les cartes des juges étaient fort équilibrées (86-84, 86-85 pour Onolunose et 85-86 en faveur de Lafrenière). Bref, le dernier round a été déterminant et les trois juges l’ont tous accordés au résident de Calgary.
Comme la tradition le veut lors d’un combat pour un titre nord-américain, 50 % des officiels provenaient de l’extérieur. L’arbitre était la Newyorkaise Sparkle Lee, le juge provenant de l’extérieur du Québec était aussi de NY. Carlos Ortiz Jr a remis la carte de 96-94. Ce sera le même ratio d’officiels étrangers pour Lafrenière-Onolunose 2.
Comme mentionné plus haut, le second affrontement se prépare et se négocie depuis plusieurs semaines. Puisque nos collègues de Boxingtown Québec ont récemment produit un reportage avec Francis Lafrenière qui revient sur sa récente défaite et sa préparation pour reconquérir le titre NABO, nous avons contactés celui qui est surnommé « The Punisher » pour obtenir ses commentaires.
« Pour le premier combat ma préparation a été limité par un délai d’environ quatre semaines. Pour juin, mon camp d’entraînement aura duré le double. C’est une différence considérable. Nous savons à quoi nous attendre pour ce deuxième face-à-face. Je m’attends à ce qu’il soit encore plus agressif, mais je vais répliquer coup pour coup, de la première seconde à la dernière», affirme-t-il.
« J’estime que je suis le meilleur poids moyens au Canada et j’ai bien l’intention de le démontrer en lui passant le KO. Je serai un animal sans pitié sur le ring et les amateurs de boxe de Montréal auront droit à tout un spectacle lors de Lafrenière-Onolunose 2», de conclure Albert Onolunose.
Voici maintenant les commentaires de Francis Lafrenière :
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Certainement que les deux équipes auront un certain nombre de stratégies différentes pour Lafrenière-Onolunose 2. Mais soyons honnête, la victoire appartiendra probablement à celui qui s’ajustera le mieux durant le second combat.
Chez Lafrenière, on lui demandera de commencer plus fort et d’augmenter le nombre de fois qu’il lancera son jab. Pour Onolunose, il devrait s’attendre à ce que l’arbitre le laisse accrocher beaucoup moins souvent. Peut-être même qu’il pourrait le punir s’il accroche les câbles aussi régulièrement qu’à la mi-mars.
Considérant la finalité du premier duel, nous offrons le même conseil aux deux boxeurs. On recommande de lancer beaucoup plus de coups au corps que lors du premier duel. Ralentir le rythme de son rival, pourrait permettre de gagner plus aisément les derniers échanges du combat.
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]]>Ce soir, l’équipe de Rixa Promotions nous présente un gala à la sauce « Régis Lévesque » impliquant de nombreux combats locaux. Des dix combats de la soirée à la Tohu, pas moins de six d’entre eux impliquent un duel entre deux canadiens et même que trois combats dont la finale et la demi-finale opposent deux boxeurs locaux. Pour ceux qui ne seront pas là ce soir vous pouvez regarder ça via le site fight.tv pour la modique somme de 15 $, la soirée débute à 19 h.
La grande finale Balmir-Cotroni
Dans un duel de huit rounds, le protégé de Jimmy Boisvert, Jordan Balmir (8-0-0, 5 KO) est déterminé a faire rapidement sa place parmi l’élite de la boxe canadienne. Lui qui a livré sa première finale chez à Drummondville en octobre dernier, il a poursuivi sa progression en allant au Mexique en décembre pour enregistré un KO au 1er round et remporter une décision à Shawinigan en février.
Son rival est un boxeur qui n’a pas peur de prendre la route pour se battre. Frank Cotroni (12-9-1, 6 KO) est maintenant âgé de 33 ans. À travers les années, il s’est rendu à Edmonton pour défier Steve Claggett à 147 livres, il s’est battu en championnat canadien à Saskatoon, il livré un duel enflammé à Sébastien Bouchard au Centre Bell et,en 2017, il a participé à un tournoi en Jamaîque.
Parmi ses faits d’armes les plus importants, il a remporté des combats sur la route à Moncton et en Jamaique. Mais surtout, il a vaincu Francis Lafrenière lors d’un duel au Chapiteau Maisonneuve en 2012.
Cotroni se sent confiant
La finale de la soirée est un combat impliquant un poids limite de 162 livres. La raison de ce poid est que Frank Cotroni pesait rien de moins de 197 livres il y a environ deux mois, puisse qu’il a subi une opération pour une hernie inguinale en novembre dernier.
Son camp d’entraînement s’est déroulé sur une période de six semaines, principalement au Gym le local dans Montréal-Est et chez les Frères Grant. Cotroni sera accompagné de son fidèle d’ami et entraîneur Éric Huard ainsi que de Jessy Thompson, qui s’est occupé de sa préparation pour son combat avec David Théroux ainsi que pour ses duels en 2017.
« J’ai vécu une vie de vedette en Jamaïque, l’an dernier. L’émission The Contenter était en première position des côtes d’écoutes là-bas. C’est un peu comme participer à une téléréalité d’ici. Je respecte Balmir, je sais que tous ces coups peuvent être dangereux. Il frappe fort, mais je crois sincèrement que sa force va le brûler… et je suis pas facile à faire mal, lol, j’ai une tête dure. Comme dans tout mes combat je n’ai pas prédiction à faire, mais je m’attends à une guerre. Et je m’attends à ce que l’expérience l’emporte », nous a confié le boxeur
La stabilité chez Balmir
Comme à son habitude, Jordan Balmir s’est préparé pour sa prochaine sortie à Trois-Rivières. Il a pu mettre les gants avec Clovis Drolet, qui lui se prépare pour son premier combat à Québec dans deux semaines. Puisqu’il s’agit de son premier duel de huit rounds, le boxeur de 25 ans a augmenté le nombre de rounds de préparation pour être bien certain d’avoir de l’énergie de la première à la dernière minute.
« Idéalement, je veux me battre à 154 livres et même éventuellement à 147. C’était le cas à Shawinigan en février, j’étais à 154 livres et je me sentais très bien. Nous avons fait le compromis du poid pour se battre à 162 livres parce que Cotroni est un boxeur d’expérience qui va me permettre de progresser. Je sais qu’il sera prêt pour moi et je ne le prend pas du tout à la légère. J’ai confiance que je suis en mesure de le battre autant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Si je dois me coller sur lui je suis prêt, comme si je suis mieux de le boxer, je bien préparé aussi pour ça. On va s’ajuster tout au long du combat. Je m’attends à ce qu’il soit prêt à tout donner pour l’emporter parce que c’est probablement l’un de ses derniers combats. Il va être prêt à prendre des risques pour me faire mal et ça devrait donner un excellent show », nous a confié Jordan Balmir.
À quoi s’attendre comme combat?
En plus d’avoir obtenu les commentaires des deux boxeurs, nous avons pensé demandé l’opinion du boxeur retraité Sébastien Gauthier, qui sera l’analyste de la soirée pour RDS qui diffusera plusieurs combats de la soirée dans les jours à venir.
« Jordan Balmir est un boxeur très hargneux qui a un grand désir de vaincre qui est recherché par les amateurs de boxe. Fort physiquement, il n’hésite à bousculer ses adversaires et profiter des situations que ça peut présenter. En début de carrière, il manquait de patience et dévoilait toutes ses cartes dès les premiers instants du combat et lançant une main droite en ’’Overhand’’ un peu trop prévisible et sans la préparer. Mais il a évolué ! Du coté de Frank Cotroni, il a de l’expérience et la patience pour gérer un combat de huit rounds. Techniquement et défensivement de plus en plus solide, il sera un rival de haut niveau pour Balmir », nous explique Gauthier.
« Dans le passé, l’expérience de Cotroni lui a beaucoup plus servi à faire des rounds qu’à les gagner. Il gère très bien son énergie et sa défensive mais n’a pas démontré qu’il pouvait utiliser ça pour surprendre ses adversaires plus les combats avançaient. J’ai l’impression que Balmir sera plus gros le soir du combat et il est le boxeur invaincu donc aura la mentalité d’un gagnant », ajoute-t-il.
« Balmir est plus jeune, donc il doit s’imposer rapidement dans le combat pour que Cotroni soit craintif. Il est physiquement plus fort, donc il devra bousculer Cotroni avec ses charges. Pour Cotroni, il doit essayer de stopper les charges des fois larges de Balmir en coupant les attaques avec un jab lourd. Éviter de trop reculer mais plutôt utiliser des angles pour faire payer Balmir s’il charge trop sans le respecter. Je m’attends à voir Jordan Balmir s’imposer rapidement et déstabiliser Frank Cotroni car il semble avoir les mains lourdes. J’espère voir un boxeur plus patient mais je crois qu’il pourrait être un des rares à arrêter Cotroni », de conclure Sébastien Gauthier.
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]]>«Lorsque Mr. Balmir nous a approchés avec le projet de gala à Drummondville nous avons toute suite été intéressés par l’opportunité. Jusqu’à maintenant, le support de la Ville et du Centrexpo Cogeco Drummondville a été exceptionnel. La réponse du public est aussi très positive et nous attendons une très bonne foule le 28 octobre prochain. Encore une fois, Rixa Promotions offre l’opportunité au talent local de se démarquer alors que deux autres boxeurs feront leur début professionnel. Advenant un gala couronné de succès, Rixa pourrait répéter l’expérience d’organiser des galas à l’extérieur de Montréal plus fréquemment », d’affirmer Maxime Fortin, le directeur des opérations de Rixa Promotions.
Le Drummondvillois Jordan Balmir (5-0) fera les frais de la finale qui s’annonce explosive! Le jeune Balmir voudra en mettre plein la vue devant les siens pour son premier combat de 6 rounds en carrière. Son adversaire sera le polonais Daniel Przewieslik (2-3-1). Ce dernier n’en sera pas à sa première visite au Québec puisqu’il a déjà affronté Patrice Volny.
«Un gala de boxe à Drummondville était pour moi l’occasion rêvée pour faire connaître le talent de Jordan à tous ceux et celles qui n’ont pas eu l’opportunité de voyager à Montréal pour le voir boxer. L’occasion est d’autant plus idéale qu’elle va permettre aussi aux jeunes athlètes de la région de se mettre en évidence. D’ailleurs plusieurs écoles de boxe ont manifestées leur intérêt et leur participation dont le Club Ultimaction de Drummondville, Club Performance de Trois-Rivières, Club de boxe de Saint-Hyacinthe, Collège Team Bergeron de Drummondville et Club de boxe Robertsonville de Thetfordmines. D’autres écoles viendront se joindre à nous bientôt dans le volet amateur. C’est une première à ne pas manquer et non la dernière!», d’ajouter Serge Balmir le Directeur de Balmir Sécurité+ et le père de Jordan.
Pour la demi-finale, un combat local longuement attendu aura enfin lieu. Whitney Baille (4-0) affrontera Dave Leblond (2-2) dans un duel prévu pour quatre rounds à 138lbs. Les deux hommes entretiennent une rivalité qui date des rangs amateurs où Baille soutira une victoire à Leblond lors d’un combat très équilibré.
En addition, François Pratte (4-0) vient d’être ajouté au programme du 28 octobre. Le boxeur de Trois-Rivières possède une belle technique et un excellent jeu de pieds. Ce combat aura sans doute lieu sous la limite des 130lbs. Il faut donc s’attendre à plusieurs échanges de combinaisons rapides et soutenues. Le combat est prévu pour 4 rounds.
Pour sa part, Tommy Houle effectuera ses débuts professionnels. Le pugiliste de Joliette possède une fiche amateur de 30 victoires et seulement 6 défaites. Houle est un boxeur gaucher avec des mains rapides et une belle variété de coups.
Un autre combattant de Drummondville a également confirmé sa présence. Michael Cyr (Début) est d’abord un combattant d’arts martiaux mixtes, mais l’occasion était idéale pour Cyr de tenter sa chance en boxe devant son public. Son adversaire Joe Elliot(Début) de l’Ontario devrait être confirmé dans les prochains jours.
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]]>Depuis l’actif mois de juin, il n’y a eu aucun gala de boxe à travers la belle province, quelques boxeurs ont performés en Ontario, mais la pause a été plutôt longue pour la majorité des pugilistes québécois. Demain soir, c’est l’organisation de Rixa Promotions qui est la première à reprendre du service. Ils s’en seront déjà à un sept gala dans ce très beau lieu qui l’habitude de recevoir des cirques en provenance d’un peu partout sur la planète.
En place seulement depuis trois ans, on se doit de souligner que l’équipe de Rixa Promotions progresse très bien. Présentement ses deux vedettes ont intégrés les classements mondiaux.
Francis Lafrenière (16-5-2, 9 KO), l’actuel champion NABO et IBF International des poids moyens, est classé 6e à la WBO et 15e à l’IBF. De son côté, le jeune Erik Bazinyan (16-0-0, 11 KO) détient le titre WBO jeunesse chez les 168 livres et il occupe le 14e rang de cette même association.
La vedette de la soirée de demain sera justement le boxeur de 22 ans. Toujours en apprentissage, le québécois d’origine arménienne affrontera l’Allemand d’adoption Bernard Donfack (23-16-3, 11 KO). L’expérimenté boxeur de 37 ans a beaucoup voyagé, professionnel depuis douze ans, il s’est battu dans de nombreux pays tels que : la Russie, l’Ukraine, le Danemark, la Suisse, la France, l’Italie, la Hongrie, la Pologne, la Colombie et bien sûr la majorité de ses combats ont eu lieu en Allemagne (27 fois). Donfack en sera à une première visite en Amérique du Nord.
Côté comparable, ce sera intéressant d’analyser la performance du protégé des frères Grant. En 2015, le Camerounais d’origine a fait face à deux défis d’importance de douze rounds. Tout d’abord, en août il s’est rendu à Bogota en Colombie pour affronter Alexander Brand, celui-ci s’est mesuré à Andre Ward un an plus tard. Puis en octobre il a tenté d’obtenir le titre argenté international d’Avni Yildirim, le tombeur de Schiller Hyppolite. Dans les deux cas, Donfack est resté debout pendant les douze rounds des duels.
Cette année, il a visité le Danemark, en affrontant un boxeur de 6-0, et la France, en livrant bataille à un boxeur ayant une fiche de 15-0-2. La première rencontre s’est terminé par une décision unianime au bout de huit rounds, alors qu’en France il a subi son 3e KO en carrière suite à un coup au foie.
Côté style, l’Allemand d’origine camerounaise est agressif et fort physiquement. Si il n’a pas visité le plancher face à des boxeurs comme Brand et Yildirim, ça signifie clairement que c’est un « tough ». Le duel de huit round a lieu dans la division des mi-lourds. Si Bazinyan l’envoi au plancher ou l’emporte avant la fin du combat, il s’agira d’un signal fort qui raisainnera à l’international.
Pour la suite, l’équipe de Rixa souhaite que son boxeur, présentement classé 6e à la NABO, poursuive sa progression le 2 décembre prochain en se battant pour un titre Nord-Américain. Considérant que la foule embarque toujours fort lors d’une confrontation locale, il serait fort intéressant de le voir face au Saguenéen Francy Ntetu. L’ancien protégé de Michel Desgagné a bien failli se battre au Saguenay en octobre, mais son promoteur. Lou DiBella, a été incapable de s’entendre avec le promoteur local. Depuis la signature de l’entente entre DiBella et Ntetu en déc 2013, le boxeur de 35 ans est monté sur le ring qu’à huit reprises.
Tooujours entrainé par Fréderic Lorin, Roody Pierre-Paul (15-3-1, 5 KO) a quitté le gym de Renan St-Juste à Repentigny pour ce joindre à celui d’Éric Huard à Mascouche. Le boxeur de 35 ans ne s’est battu qu’à deux reprises dans des duels de dix rounds, par contre, il est en train d’écrire une page d’histoire en accumulant les combats de huit rounds. Ce sera son 11e demain soir.
En demi-finale de la soirée, le gaucher affrontera le Mexicain Jesus Antonio Rios (37-10-1, 30 KO), un boxeur expérimenté et fort actif, il en sera à son 9e duel dans les dix-huit derniers mois.
Il y a quelques mois. Roody Pierre-Paul et Mick Gadbois ont passé bien proche de s’affronter. Si les astres s’alignent un peu plus, ce duel pourrait bien finir par se signer. Sinon, Pierre-Paul vise l’Ontarien Steven Wilcox, détenteur du titre NABA ou l’Albertain Cam O’Connell qui vient de s’incliner face à Tony Luis.
Le Montréalais de 29 ans grimpe de division en se battant dorénavant à 135 livres. Golden Garcia (9-0-1, 5 KO) a bien rebondi suite à son verdict nul d’avril. Il a remporté son duel de juin en seulement six minutes.
Suite à cette performance, les frères Grant lui propose un beau défi en la personne de Oscar Mejia (10-2-1, 3 KO). Le Mexicain est combatif comme la majorité de ses compatriotes. On l’a vu face à Ablaikhan Khussainov au Centre Bell en janvier dernier, il s’est alors incliné par TKO au sixième round.
Depuis environ un an, le Camerounais de naissance Stéphane Malenou (11-6-1, 3 KO) fréquente le gym des frères Grant. Évoluant chez les 147 ou les 154 livres, Malenou a fait ses dix premiers combats en France entre 2003 et 2007. Puis, il s’est expatrié aux États-Unis pendant trois ans. Il ne s’est battu qu’à deux reprises, mais il a aussi pris de l’expérience en mettant les gants sous la supervision de Floyd Mayweather Sénior. Entre 2011 et 2015, c’est en Belgique qui monté sur le ring à cinq reprises. Chez les amateurs, Malenou a été membre de l’équipe du Cameroun avec les Herman Ngoudjo, Olivier Lontchi et Paul Mbongo.
Côté style, on le décrit comme très rapide et il a un excellent cardio. Il est fort mobile et il aimer aller des coups de tous les angles possibles. Rixa Promotions lui offre maintenant sa chance samedi. Pourrait-on le revoir de nouveau? Tout est possible, pourquoi pas comme adversaire face à Custio Clayton ou Mikael Zewski,
Le vétéran d’Edmonton, Ryan Ford (12-0-0, 7 KO) ne fait pas tellement parlé de lui au Québec, mais il a tout un parcours. Adepte des arts martiaux mixtes, il a accumulé une fiche de 22-5. Depuis 2015, il se concentre la boxe suite à trois factures du bras. Entraîné par Jessy Thompson depuis un an, il s’est rendu à Singapore en mai dernier pour affronter l’ancienne victime d’Eleider Alvarez, le Néo-Zélandais Robert Berridge. Ford l’a emporté par décision technique suite à un coup de tête accidentel au septième round.
Ford met beaucoup de pression et il lance des coups lourds et inusités dû son parcours en MMA. Son rival demain sera le Mexicain Joaquin Murrieta (5-5-2, 3 KO), qui en ait à sa première sortie hors de son pays. Initialement le boxeur de 35 ans devait se rendre en Angleterre pour affronter samedi prochain Anthony Yarde pour le titre vacant intercontinental de la WBO. Malheureusement pour Ford c’est plutôt le Hongrois Norbert Nemesapati, une ancienne victime de Schiller Hyppolite, qui affrontera l’Anglais invaincu de 26 ans.
Le populaire boxeur de Pointe-Calumet, Jean-Michel Bolivar (2-0-0, 1 KO) devait initialement affronter Miguel Poissant de Sainte-Catherine. Malheureusement, une blessure à l’entraînement à forcé Poissant à se retirer. Bolivar affrontera donc le Mexicain Arturo de la Cruz (5-7-0, 1 KO), qui a fait une décision unanime face à l’Albertain Anthony Lessard en juin dernier.
Le petit frère de Jessy Thompson, Jimmy Ray Thompson (1-0-0, 1 KO) a très bien fait en juin en l’emportant dès le second round. Samedi, il sera opposé à Marco Parente (0-1-0) de Toronto. Malgré sa défaite, Parente devrait lui livrer une bonne opposition, il s’agit d’un boxeur ayant peu de combats amateur mais qui est constamment dans le gymnase puisqu’il est aussi un entraîneur de boxe et de MMA.
L’excitant Mohamed Souaoro (2-0-0, 2 KO) a beaucoup de potentiel, son entraîneur Jessy Thompson a beaucoup d’espoir pour lui. Son rival provient de la Slovaquie, Samuel Hadzima a une fiche négative de 0-2-0, mais il a plus d’une vingtaine de combats de kick-boxing derrière la cravate. Pour en apprendre plus sur Soumaoro, nous vous recommandons de lire l’article de David Tétrault sur Boxingtown Québec.
Enfin, comme à son habitude Rixa Promotions permet à un boxeur de passer chez les pros. Cette fois-ci, c’est Samuel Vazquez qui affrontera le Mexicain Waldo Rojas (3-2-1, 1 KO). Pour mieux connaître Vazquez nous vous suggérons une autre entrevue sur BoxingTown Québec.
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]]>Cet article « 2017 va être l’année Rixa Promotions » – Maxime D. Fortin est apparu en premier sur Boxe québécoise pour tous les amateurs francophones – 12rounds.ca.
]]>L’objectif en 2017 pour Rixa Promotions est de présenter cinq galas à La Tohu de Montréal. Le premier est prévu le 21 janvier et le second, le 9 avril.
« Il y aura possiblement un sixième événement ajouté à notre programmation, tenu en région, à Vaudreuil ou Valleyfield, soit quelque part dans le coin de Francis Lafrenière. Il n’y a rien d’attaché, c’est lui qui nous a approchés avec l’idée alors on va regarder ça. Il s’y battrait en tête d’affiche, avec d’autres gars de notre écurie en sous-carte. Des jeunes de ce coin pourraient aussi débuter leur carrière professionnelle et d’autres boxeurs de la région pourraient figurer sur cette éventuelle carte », indique Maxime D. Fortin, responsable des opérations chez Rixa Promotions. C’est le cas par exemple de David Maltais (2-0-1), « qui n’a pas eu l’occasion de boxer depuis un certain temps ».
Entretemps, Francis Lafrenière sera l’une des principales têtes d’affiche du gala qui sera présenté le samedi 21 janvier à la Tohu. Il devrait combattre de nouveau le 24 février, puis avoir ensuite une chance pour le titre IBF Intercontinental, donc il est le premier aspirant. Le titulaire de la couronne, l’allemand Ronny Mittag (29-2-1), sera tenu de l’affronter quelque part au printemps et Rixa Promotions compte négocier pour présenter le combat à Montréal. À défaut de parvenir à une entente, le promoteur prendra part à l’enchère. Francis Lafrenière pourrait donc aller jusqu’en Allemagne pour disputer ce duel.
Si l’année 2017 s’annonce prometteuse, Maxime D. Fortin dresse un bilan fort positif de l’année 2016.
« Le premier point, c’est d’avoir obtenu La Tohu comme salle exclusive pour présenter nos galas. C’est la meilleure salle pour présenter de la boxe avec une capacité 2000 personnes et moins. Il ne se fait pas mieux comme endroit et ça nous a permis de conclure une entente de diffusion avec RDS2 à long terme. Cette réalisation nous apporte de la stabilité et de la visibilité », explique-t-il.
Maxime D. Fortin cite ensuite le duel entre Francis Lafrenière et Renan St-Juste, disputé au Centre Bell le 30 janvier 2016. « Ce combat a été marquant pour l’évolution de Francis. Il lui a apporté la ceinture IBF International, mais ça l’a surtout amené à un autre niveau ».
L’obtention du Championnat du monde junior WBO par le super-moyen lavallois Erik Bazinyan (14-0-0), en septembre dernier face à l’Allemand Aro Schwartz (13-2-0), est une autre réalisation marquante de 2016 dans le bilan de Rixa Promotions. « Aro Schwartz était un boxeur très résistant et il donné un bon combat. On estime même que le gala du 3 septembre a été notre événement le plus enlevant pour les amateurs », constate Maxime D. Fortin. Erik Bazinyan a maintenant jusqu’en avril pour défendre sa ceinture mondiale WBO Youth.
Erik Bazinyan est l’un des prospects les plus intéressants de notre écurie, estime Maxime D. Fortin. « Les gens pensent que Erik est sous contrat avec Yvon Michel, mais ce n’est pas le cas. Yvon avait un intérêt envers Erik, mais on ne fait que travailler ensemble. Yvon Michel ne peut pas s’investir dans le développement de tous les boxeurs prometteurs et nous avons développé une bonne entente entre nos deux compagnies ».
« Pour Rixa, c’est une opportunité fort intéressante de travailler de pair avec le plus important promoteur au Canada. Ça nous offre des opportunités de mettre des boxeurs sur des cartes au Casino de Montréal ou sur d’autres cartes, par exemple au Centre Bell. Quand le temps sera venu d’amener Erik Bazinyan plus loin, Yvon va être là pour nous aider et nous pourrons ainsi l’impliquer sur de plus gros événements », ajoute Maxime D. Fortin.
L’objectif pour 2017 dans le cas d’Erik Bazinyan consiste à disputer des rounds. « L’objectif ultime c’est de l’impliquer dans un combat de championnat du monde. On veut être patient avec Erik car il est encore jeune [21 ans], mais nous voulons l’opposer à des rivaux vraiment durs pour lui donner ensuite quelque chose de plus gros vers la fin de l’année 2017 », indique Maxime D. Fortin. Il risque donc cette année d’être confronté à des adversaires du type de l’Américain Darnell Boone (23-23-4).
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]]>Francis Lafrenière“The People’s Champ” (11-5-2, 6 KO) sera la tête d’affiche de l’événement. Lafrenière remonte dans le ring après avoir disputé un combat endiablé face à Renan St-Juste qui d’ailleurs est considéré comme l’un des combats de l’année jusqu’à maintenant. Le boxeur de Coteau-du-lac est présentement Champion Canadien, Champion IBF International et vise un troisième titre et non le moindre, celui de Champion IBF Intercontinental. Advenant une victoire, Francis bénéficiera d’une position avantageuse dans les classements mondiaux.
Lafrenière sera opposé au vétéran Francisco Cordero (33-6-0, 24 KO), un Colombien qui s’est déjà battu en Championnat du monde WBA. Cordero est un boxeur avec un style classique qui cherche à échanger coup pour coup. Les fans auront droit à un combat de tranchées qui s’annonce très rude.
En demi-finale, un des plus beaux espoirs de la boxe québécoise Erik “BZO“ Bazinyan (12-0-0, 8 KO) sera en action. Bazinyan qui est âgé de seulement 20 ans fera face à son plus grand test jusqu’à présent. Son adversaire, Matingu Kindele “The Zulu King” (7-4-0, 3 KO), est un boxeur qui met constamment de la pression et qui affiche une forme physique irréprochable. Lorsqu’il a subi la défaite, Kindele affrontait des boxeurs de qualités avec des fiches impressionnantes, et ce, sur leur terrain.
Pour sa part, Roody Pierre-Paul (12-3-0, 5 KO) affrontera le Mexicain Oscar Barajas (12-3-0, 3 KO). Ce duel de gaucher avec des fiches identiques sera un bon indicatif pour voir ou Roody est rendu dans sa progression. De plus, Golden Garcia (5-0-0, 2 KO) affrontera le Slovaque Csaba Bolckei (7-9-1, 5 KO). Advenant une victoire, Garcia deviendrait un sérieux acteur dans les divisions des 130 à 135 livres. Plus encore, le spectaculaire protégé de Lucian Bute, Bruno Bredecian (3-0-0, 1 KO) revient pour un deuxième combat à la Tohu contre Hector Osornio (7-7-3, 1 KO).
En conclusion, l’opposant de Dwyane “Diamond” Durel (3-0-0, 1 KO) reste à confirmer mais des discussions ont lieu avec le boxeur de Shawinigan Michael Gargouri. Miguel Poissant fera également ses débuts professionnels.
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]]>Devant une foule d’un peu plus de 850 spectateurs à la Tohu et devant les caméras du Réseau des Sports, le Montréalais d’origine arménienne, Érik Bazinyan (12-0-0, 8 KO), a fait une entrée explosive au son de la musique de son pays d’origine et accompagné par un cracheur de feu.
Appuyé par un foule bruyante, le jeune boxeur de 20 ans n’a fait qu’une bouchée du Hongrois Gerco Horvath (6-1-1, 3 KO) qui a accepté le défi il y a moins de deux semaines. Dès le premier round, Horvath a été pincé solidement et on l’a vu reculer tout en étant ébranlé. Sans perdre de temps, le protégé des frères Grant a fini le boulot au second round en mystifiant son rival en changeant de côté. Une gauche bien placée par Érik Bazinyan a envoyé au pays des rêves le Hongrois et le KO a été enregistré à 1:22.
Avant le combat principal, Francis Lafrenière a été longuement applaudi suite à sa prestation face à Renan St-Juste le 30 janvier dernier. Il nous a annoncé qu’il sera de retour, ici même à la Tohu, le 17 juin. Évidemment, l’ensemble des boxeurs de Rixa Promotions, Érik Bazinyan, Roody Pierre-Paul, Golden Garcia et Dwayne Durel seront aussi de la partie.
Dans le même sens, nous avons eu le plaisir de longuement discuter avec Lucian Bute dans la soirée. Tout sourire, Bute est évidemment très content d’avoir décroché le combat avec le champion de la WBC Badou Jack, leur duel aura lieu le 30 avril. Déjà à l’entraînement depuis de nombreuses semaines, il va peser sur l’accélérateur pendant les sept prochaines semaines en suant au gymnase des frères Grant.
Le duel Jack-Bute, ainsi que le retour de James DeGale, ne devrait pas avoir lieu au Québec. Par contre, il y a de petites chances que ça se déroule à New York. Mais comme la soirée est organisée par Mayweather Promotions, on peut mettre un petit 2 $ que Vegas ou la Californie sera le lieu choisi.
La nouvelle recrue (mais déjà fort expérimentée) de Rixa Promotions, Roody Pierre-Paul (12-3-0, 5 KO), a bien fait les choses en affrontant un vétéran du Mexique, Cecilio Santos (28-29-0, 17 KO). Tout au long des huit rounds, Santos, qui a participé à quatre combats de championnat du monde et qui a plus de 400 rounds vécus sur un ring, a été compétitif et s’est révélé un test de qualité pour le gaucher de Laval.
Les trois juges ont remis des cartes identiques de 79-73, ce qui représente bien la qualité de l’opposition offerte par Santos, et ce, considérant qu’il n’y a eu aucune chute durant le combat. « Je suis bien content du résultat, sa grande expérience a su me faire sortir de mon plan de match. Il avait un jab-uppercut vraiment fatiguant qui m’a un peu déconcentré. Mes entraîneurs m’ont bien conseillé et j’ai repris le contrôle du combat. Je serai de retour le 17 juin et j’ai aussi deux autres combats de planifiés d’ici la fin de l’année. Je suis vraiment de retour et j’aimerais me battre pour un titre mineur en 2016. Dans un monde idéal, je vengerais mes deux plus récentes défaites et je pourrais aussi affronter un gars comme Steven Wilcox qui a fait aussi un bon combat hier. Il y a aussi Mick Gadbois que je serais content d’affronter, il a perdu face à Jesus, mais je ne suis pas d’accord avec la décision des juges, je considère qu’il a dominé Singwancha et qu’il méritait la victoire », de conclure celui qui a mis un terme aux carrières d’Ibrahim Kamal et de Baha Laham en 2014.
Face au veteran Mexicain Pedro Navarette (29-21-3, 18 KO), l’Ontarien Steven Wilcox (13-1-1, 8 KO) a dû rester alerte tout au long du combat. Le mercenaire a été égal à lui-même en livrant un duel acharné et en cherchant la confrontation à l’intérieur.
Maintenant âgé de 34 ans, le Mexicain n’a jamais bronché face à Wilcox. Les juges n’ont pas considéré bon lui accorder un seul échange malgré sa combativité (80-72, 80-72, 80-72). Rappelons que le Mexicain s’est battu à de nombreuses reprises au Québec dont notamment face à Joel Diaz (KO4), Mick Gadbois (DM4), Ghislain Maduma (DU10), Pier-Olivier Cote (DU8), Arash Usmanee (DU10) et Logan McGuinness (DU8).
Le Roumain Flavius Biea (10-0-0, 5 KO) a été intraitable face au Mexicain Ulises Jumenez (21-19-1, 1 KO). Le touchant régulièrement au corps, Biea a fait mal à Jumenez dès les premiers instants du combat. Après cinq chutes au plancher, l’arbitre expérimenté Marlon B Wright a arrêté le duel très inégal au quatrième round.
Dans un duel intéressant chez les lourds-légers, le costaud Torontois Shavar Henry (2-1-0, 1 KO) a pris la mesure de Francis Charbonneau (2-1-0, 1 KO) en étant plus actif que le boxeur de St-Hyacinthe qui a une fiche de 3-0 en MMA. Les juges ont remis des cartes identiques de 39-37, mais pour plusieurs le duel aurait pu se terminer par un verdict nul si Charbonneau en avait donné un peu plus.
Le poids léger Golden Garcia (5-0-0, 2 KO) se frotte au Français Romain Peker (8-11-0, 1 KO) dans un duel de six rounds, le premier de Garcia. Le protégé des frères Grant a touché son rival autant à la tête qu’au corps mais Peker a été endurant et il a encaissé les nombreux coups de Garcia. Sans surprise, les juges ont donné la victoire au Lavallois (59-55, 59-55, 60-54).
Le Français installé à Montréal depuis quelques années, Dwayne Durel (3-0-0, 1 KO), a su être plus actif et plus précis que l’Ontarien Kyle Marsh (0-2-0), un protégé de Ryan Grant. Les trois juges remettent des cartes identiques de 40-36. Bien que Marsh ait été compétitif à tous les rounds, il n’a pas su s’imposer pour soutirer un round en particulier.
Bruno Bredicean démolit Lucnor Diserne
Le petit frère de Dario Bredicean, Bruno (3-0-0, 1 KO), âgé de 21 ans, a impressionné en démolissant progressivement le protégé de Fernand Marcotte, Lucnor Diserne (0-2-0). Dans les deux premiers rounds, le Floridien a dominé en touchant la cible efficacement et régulièrement. Au troisième échange, Bredicean a fini le travail avec une droite au menton qui a assommé le boxeur de 33 ans. Avant même que l’arbitre termine son compte, Marcotte lance la serviette. Le KO est enregistré à 1.38 du 3e round.
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]]>Rassemblés au Complexe Sportif Gilles Tremblay à Repentigny, une foule d’environ 800 spectateurs a assisté à une belle soirée de boxe organisée par Rixa Promotions en collaboration avec les frères Grant et Boxe Mania Promotions dirigé par Renan St-Juste. Et bonne nouvelle pour les amateurs de boxe locale, les duels implicant Francis Lafrenière, Renan St-Juste et Erik Bazinyan seront présentés en différé à RDS2 dans environ deux semaines. Le diffuseur de sports bien connu prévoit répéter l’expérience à trois autres reprises dans la prochaine année.
Le boxeur de Coteau-du-Lac, Francis Lafrenière (10-5-2, 5 KO) a offert tout un spectacle à ses nombreux supporteurs en décrochant un TKO à 23 secondes de la fin du huitième round. Son rival de la Colombie-Britannique, Aubrey Morrow (8-2-2, 7 KO) est un boxeur qui lance beaucoup de coups et ce volume déployé au cours des premiers rounds lui a permis de remporter plusieurs des cinq premiers assauts. Par contre, son manque de précision jumelé à la pression constante de Lafrenière l’ont forcé progressivement à battre en retraite.
Le furieux duel s’est terminé par l’arrêt de l’arbitre à la fin du 8e alors que le boxeur de 28 ans n’avait plus aucune défensive. Morrow était tellement épuisé par l’énergie laissée sur le ring et par les coups encaissés qu’il est sorti du ring sur une civière et les médecins de la régie l’ont escorté à l’hôpital.
Le Repentignois Renan St-Juste (26-4-1, 18 KO) a toujours une force de frappe impressionnante malgré ses 43 ans. Dans un combat beaucoup moins enlevant que la finale, le gaucher a été patient et a su bien placer ses coups face au Jamaicain Devon Moncrieffe (12-6-0, 4 KO).
Particulièrement efficace au quatrième round, St-Juste a ébranlé son rival avec plusieurs gauches, mais le boxeur de 39 ans était quand même assez résistant. Comme le bon vin, le propriétaire du club 35 a laissé mûrir son rival et, au septième échange, il a été en mesure de lui faire visiter le plancher à deux reprises. Sagement, l’arbitre a mis un terme au duel à la fin du round suite à la seconde chute de Moncrieffe.
Le protégé des frères Grant, Érik Bazinyan (10-0-0, 7 KO) est passé bien proche de ne pas se battre. Initialement, l’Arménien devait se frotter à Howard Eastman (49-13-0, 38 KO), mais le vétéran de la Guyane, qui a notamment fait la limite avec Bernard Hopkins et Artur Abraham en 2005, n’a pu rentrer au pays à cause d’un problème de passeport. Exceptionnellement, la régie a accepté de faire monter sur la pesée Roody René (1-3-1) la journée même du combat.
Dans un combat inégal, Bazinyan a démontré de la patience pour trouver les ouvertures et il a fini le travail au quatrième round alors que l’arbitre à mis un terme à ses assauts répétés. Le jeune mi-lourd de 20 ans progresse bien et il sera intéressant de le voir face à des vétérans qui l’aideront à prendre de l’expérience.
Le Roumain Flavius Biea (9-0-0, 4 KO) poursuit son apprentissage en décrochant une belle victoire face au vieux routier Christopher Henry (25-27-0, 18 KO). Celui-ci en était à sa septième présence en sol canadien, il s’est notamment incliné face à Joachim Alcine (DU8), Sébastien Demers (DU10), Jo Jo Dan (DU8) et Renan St-Juste (KO5). Régulièrement atteint à la tête comme au corps, Henry a choisi d’abandonner au terme du quatrième round.
Le poids léger Roody Pierre-Paul (11-3-0, 5 KO) a bien boxé face au Montréalais d’origine philippienne Alvin Tam (13-5-0, 3 KO). Bien que solidement ébranlé à la fin du cinquième round par un coup sur une oreille, Pierre-Paul a obtenu la faveur des trois juges unanimement (59-55, 59-55, 59-55).
Par contre, ces trois cartes ne démontrent pas à quel point Tam était compétitif. Le jeune homme de 30 ans en était à un premier combat au Canada, lui qui a décroché le titre régional Asie de la WBC en décembre 2012. Il serait intéressant de le revoir face à un boxeur de 135 livres.
Concernant Pierre-Paul, on attend impatiemment un duel contre Michael Gadbois de St-Hyacinthe. En 2014, le Lavallois a mis un terme aux carrières de Baha Laham et d’Ibrahim Kamal, pourrait-il surprendre un troisième protégé de Camille Estephan?
Le Français Dwayne Durel (2-0-0, 1 KO), que l’on vous a fait connaître récemment, a préféré laisser parler ses poings plutôt que de répondre par des paroles aux nombreuses insultes proférés par Luke Noel (1-5-0) via twitter.
Le résident de Campbellton s’est présenté la veille du combat avec un surplus de poids de six livres et on peut se demander qu’est-ce qu’il a bien pu manger la journée du duel. Au second échange, un coup au foie de Durel a forcé Noel à cracher son protecteur buccal et il s’est mis à vomir directement sur le ring.
Un peu décontenancé par la situation, l’arbitre a entamé un compte de huit. Puis, constatant l’impossibilité pour Noel de poursuivre le combat, le troisième homme a accordé la victoire à Durel à 1:14 du 2e round.
Après le combat, Durel nous a avoué avoir senti son gant rentré profondément dans le corps de son rival. Il va se souvenir longtemps de la fin de ce combat. Entraîné par les frères Grant, le boxeur de 25 ans espère se greffer à la carte du 28 novembre à Québec qui impliquera Lucian Bute.
L’ancien champion canadien des 75 kilos de l’édition 2014, Jan-Michael Poulin (1-1-2) a beaucoup de difficulté à faire la transition en boxe professionnelle. Après avoir subi un dur KO en mai dernier, le jeune père de famille était de retour à Repentigny pour vaincre ses démons.
Dans son duel de quatre rounds face à Daniel Petion, Poulin a été incapable de s’imposer et deux des trois juges ont remis des cartes égales (38-38, 39-37, 38-38). Considérant que Petion est un cascadeur de 40 ans qui s’entraîne chez les frères Grant et qu’il n’a aucune expérience amateur, le verdict a plus le goût d’une défaite pour le boxeur de 32 ans.
En ouverture de gala, Whitney Baille (2-0-0, 1 KO) a déchaussé Redy Hernandez avant même la fin du premier round. Tout en rapidité, le Lavallois de 29 ans a touché la cible avec une belle droite au menton et Hernandez s’est aussitôt retrouvé au pays des rêves.
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]]>Devant un peu moins de 500 spectateurs, Francis Lafrenière (9-5-2, 5 KO) a poursuivi son apprentissage en dominant le coriace Mexicain Salomon Rodriguez (8-4-2, 8 KO). Bien que les juges aient remis des cartes identiques de 80-72 à la faveur du «People Champ», le duel de huit rounds a été bien plus difficile qu’une marche dans un parc.
Après un premier round d’analyse, le champion canadien s’ajuste bien et son crochet et son uppercut font des dommages au second échange. Le troisième round est dominé par le Mexicain alors que Lafrenière semble vouloir faire le plein d’énergie. Par la suite, nous assistons à plusieurs rounds semblables alors que Rodriguez lance plus de coups et trouve le moyen d’adosser Lafrenière aux câbles, tandis que celui-ci réplique avec des coups de puissance.
Tout au long du combat, le solide Mexicain offre une très bonne résistance aux coups du boxeur de St-Clet. Ayant accepté le combat environ dix jours auparavant, c’est évident qu’il était déjà en très bonne forme physique. Il s’agit d’un adversaire que l’on pourrait bien revoir face à d’autres boxeurs d’ici.
Après les remerciements d’usage de Francis Lafrenière, le Repentignois Renan St-Juste est monté sur le ring pour souligner son intérêt pour un duel entre eux. Rappelons que Francis a mentionné ce projet au printemps et qu’il nous l’a répété cette semaine. La confrontation aura probablement lieu en septembre quelques part entre Valleyfield et Repentigny.
Custio Clayton (4-0-0, 3 KO), l’unique boxeur du Groupe Yvon Michel à ne pas avoir de lien avec Al Haymon, n’a pas été très longtemps sur le ring. Bien que le jeune Zaurs Sadihovs (4-3-0, 4 KO) a cherché le plus possible à se protéger, il s’est fait faire mal rapidement par Clayton et il a mis les genoux au sol à une troisième reprise à 2:46 du premier round.
Le Roumain de 26 ans, Flavius Biea (8-0-0, 3 KO), effectue ses débuts en Amérique après avoir accumulé sept gains en Allemagne et en Roumanie. Entraîné par Howard Grant depuis peu, le droitier s’est battu environ 150 fois chez les amateurs remportant notamment les titres de champion du monde et d’Europe cadet en 2005, champion d’Europe junior en 2007 et bien sûr plusieurs championnats de la Roumanie.
Face au Belge Abdula Teymouri (1-2-0), Biea est avantagé par son talent et sa vitesse. Les trois juges lui donnent la victoire unanimement (60-54, 59-55, 60-54). Selon son compatriote Lucian Bute, Biea s’installera à long terme au Québec.
Le protégé des frères Grant Golden Garcia (4-0-0, 2 KO) domine l’Albertain Abdula Teymouri (1-2-0) assez aisément. Dès le premier round, le volume de coups et la précision sont à l’avantage de Garcia. Le Montréalais est particulièrement efficace dans la seconde partie de chacun des quatre rounds. Sans surprise, les trois juges remettent des cartes de 40-36, 39-37 et 40-36 en sa faveur.
En marge du gala, nous nous sommes entretenus avec de nombreux boxeurs présents. Évidemment, le premier qui a retenu notre attention est Lucian Bute. Il nous a rappelé qu’il devrait remonter dans le ring en août et que ça pourrait bien avoir lieu sur la côte est américaine. De son côté, son bon ami Jo Jo Dan vise septembre ou octobre pour revenir en force.
Vainqueur rapidement samedi dernier, Ghislain Maduma nous a révélé que son clan est en négociation pour qu’il se rebatte dès le mois de juillet aux États-Unis pour un titre mineur. Le talentueux Mani est présentement sorti des top 15 mondiaux suite à sa longue convalescence, nous saurons rapidement si ce projet se concrétise.
De plus, nous avons appris que le promoteur ontarien Les Woods aurait cédé les droits de son entreprise à nul autre que Lennox Lewis et qu’ils sont à finaliser les détails de leur prochain gala à Toronto qui aurait lieu le 12 septembre. Sylvera Louis, qui a remporté le titre canadien des lourds-légers lors du premier gala tenu par Woods il y a quelques mois, espère grandement pouvoir participer à cette soirée.
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]]>Ce vendredi à Pointe-Claire, Francis Lafrenière (8-5-2, 5 KO) tentera de poursuivre sa séquence de combats victorieux en récoltant un sixième gain consécutif. Il devra toutefois le faire face à un adversaire dont il ne connaît rien, puisque des problèmes de santé à Richard Reittie, qu’il devait à l’origine affronter, ont forcé son organisation à trouver une solution de rechange du nom de Salomon Rodriguez (8-3-2, 8 KO), un Mexicain de 36 ans. Nous nous sommes entretenus avec Lafrenière à quelques jours de leur duel.
Le 27 mars dernier, Francis a vaincu Mohammed Akrong (20-8-0, 15 KO) par TKO au 8e round. Il était alors la principale attraction d’un gala présenté au Théâtre Olympia et conjointement organisé par les frères Grant et le Torontois Les Woods de Global Legacy Boxing. En plus du millier de spectateurs présents, Francis a eu l’opportunité d’être vu au petit écran puisque TSN a filmé la soirée et que, par la suite, RDS a diffusé son combat.
«Beaucoup de gens m’en ont parlé, ils ont beaucoup apprécié la qualité du spectacle que j’ai donné. Ç’a été très bon pour ma visibilité dans le public en général. Akrong a vraiment été un dur à cuire ce soir-là. Je me suis fait mal à une jointure au quatrième round, mais ça ne m’a pas trop affecté dans le reste du combat. J’aurais aimé le passer KO plus rapidement, mais l’important c’est d’y être arrivé», nous raconte le généreux boxeur de Coteau-du-Lac.
Comme on le sait, il y a un nouveau boxeur d’importance au Grant Brothers Gym. Nul autre que Lucian Bute a choisi de s’y établir en vue de son retour sur le ring, dont la date demeure pour l’instant indéterminée. Howard Grant a donc demandé à Francis de mettre les gants avec l’ancien champion du monde à 168 livres.
«Ce fut une très belle expérience, j’ai beaucoup apprécié. J’ai d’abord mis les gants avec Lucian pour un six rounds, puis on m’a redemandé de monter sur le ring pour trois séances de huit rounds. Je sens que Lucian est en pleine courbe d’amélioration, je l’ai senti de plus en plus agressif d’une séance à l’autre», souligne l’actuel champion canadien des moyens du Canadian Professional Boxing Council.
La présence du boxeur d’origine roumaine n’a pas chambardé les horaires des autres boxeurs. Comme avant, les Lafrenière, Bazinyan, Garcia et autres s’entraînent le matin avec Howard et c’est en après-midi que Lucian Bute se met en forme. Bref, en dehors des séances de sparring, Francis ne croise même pas Bute au gymnase.
Arrivé à Montréal mardi, le boxeur mexicain a le privilège de détenir plusieurs cartes secrètes dans son jeu. Francis et son équipe ont été incapables de trouver quelques vidéos que ce soit de lui, ils ignorent même s’il est gaucher ou droitier. Le retrait de Reittie a forcé Rixa Promotions à faire des offres à tous les boxeurs canadiens susceptibles de pouvoir se battre à 160 livres, mais tous ont refusé. C’est ainsi que Salomon Rodriguez a été choisi malgré les maigres informations disponibles sur lui.
En plus d’être grand, à 6 pieds 1 pouce, Rodriguez a une fiche intéressante. Il revendique huit KO en huit victoires, mais il a été passé KO à deux reprises sur ses trois défaites et il a deux nulles à son actif. En outre, sa fiche nous apprend qu’il a été très actif entre 2008 et 2011, livrant alors 12 combats, et qu’il a fait un retour à la compétition en octobre dernier, alors qu’il a fait match nul contre un rival ayant une fiche 3-0.
Trois de ses combats ont retenu notre attention. En mars 2010, il a perdu par décision partagée en six rounds face à Marco Antonio Periban, un boxeur qui a vaincu Jason Naugler (TKO5), Darnell Boone (TKO1) et Francisco Sierra (DM10), mais qui s’est incliné face à Sakio Bika (DM12), J’Leon Love (DU10) et James Degale (TKO3). Puis, en décembre de la même année, il s’est rendu au Japon pour affronter Koji Sato (17-1-0), duel qu’il a perdu par TKO au cinquième. Et enfin, six mois plus tard, il a remporté le titre Mundo Hispano des super moyens de la WBC en passant le KO à un rival mexicain, Jose Luis Reyes, en seulement deux petits rounds.
«Je ne vais pas changer mon style parce que je ne le connais pas, je vais me concentrer sur ce que je fais de mieux, mettre de la pression et boxer à l’intérieur. Le fait que Rodriguez soit grand devrait m’avantager à l’intérieur, mais je vais devoir me méfier de ses coups certainement puissants et surtout éviter d’être à la distance qui est idéale pour lui», souligne le boxeur de 26 ans.
Le protégé des frères Grant a plusieurs objectifs en tête. Tout d’abord, en septembre, il défendra son titre canadien, acquis en juin dernier à Lachine face à Paul Bzdel. Toujours intéressé à se mesurer à Renan St-Juste, Lafrenière garde la porte ouverte pour affronter le redoutable cogneur de 40 ans de Repentigny.
Sa progression et ses confrontations avec des boxeurs d’expérience lui donnent beaucoup de confiance. De plus, son titre canadien lui permet d’être classé dans le top 15 nord-américain de la WBO. Ne soyez donc pas surpris de le voir se battre pour le titre NABO dans la prochaine année, ce qui lui permettrait de rentrer dans les classements mondiaux.
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